Le Maillon : Ethique et Engagement

Pourquoi faire quelque chose plutôt que rien ?

Cette paraphrase de la question existentielle de Leibniz (pourquoi existe-t-il quelque chose plutôt que rien ?) traduit la question tout autant existentielle, de l’engagement. Pourquoi s’engage-t-on ? Quel est le ressort qui pousse l’homme à « ne pas rester au repos dans une chambre », pulsion responsable de son malheur selon Pascal.

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I - Agir, réagir, l’Évolution.

II - Penser par soi-même.

ou comment les hommes ont construit leur liberté de penser et d’être libres.

III - Éthique, engagement : de quelle relation parlons-nous ?

IV - Pour le franc-maçon

V - Pour le Franc-Maçon libéral adogmatique

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Conclusion.

L’Homme debout, perspective raisonnable de l’Homme responsable.

Lorsque l’homme affrontait la nature pour survivre, se nourrir, se vêtir, s’abriter, puis assurer son autonomie, la sécurité de ses proches, bref dans ce « struggle for life », il impose progressivement sa supériorité sur toute l’espèce animale par le développement de sa Raison et sa capacité à concevoir des stratégies pour développer sa connaissance.

Le siècle des Lumières ouvre une nouvelle ère dans le devenir de l’Homme et particulièrement lorsque ses hérauts Diderot et Montalembert rassemblent les savoirs en un seul lieu : « l’Encyclopédie ». 

Jusque-là victime de la malédiction divine de « La Chute » qui l'assignait au rôle de pénitent permanent devant se « racheter » de ses fautes, l’Homme était maintenu dans une minorité de dépendance.

Les Lumières lui ouvrent la voie de la liberté de conscience, d’une majorité d’autonomie et de responsabilité. Cette responsabilité est celle de l’engagement, c’est-à-dire, nous l’avons vu, de se mettre en gage.

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Mes amis, rendez-vous en octobre...

Gérard Contremoulin

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