Travailler les quatre Ordres de Sagesse du Rite Français
Le Rite Français est un rite en sept grades : trois grades symboliques pour former des Maîtres, quatre Ordres de Sagesse pour former des Citoyens... "plus Un".
Alexandre-Louis Roettiers de Montaleau le souhaitait ainsi, un rite en sept grades "plus un", le Veme Ordre. Longtemps incertain tant dans son périmètre maçonnique que dans les contours de son organisation, cet Ordre a repris force et vigueur avec le retour des "archives russes" en 2000 par les efforts conjugués de Philippe Guglielmi, Grand-Maître du GODF (1997-1999), Bernard Brandmeyer (qui assure un intérim de quelque mois en 2000) et d'Alain Bauer qui allait lui succéder (2000-2003).
Le Veme Ordre.
Cet Ordre est d'une facture différente des quatre précédents. Il ne poursuit pas les mêmes objectifs et n'a pas de contenu initiatique à proprement parler. Cette indétermination a, en son temps, servi ses détracteurs qui ont tenté de le supprimer de la suite maçonnique du Rite Français. Depuis la résurgence de son histoire à partir des archives russes, il réapparait comme grade "terminal" (et non "sommital"), affecté à une fonction fondamentale qui fera l'objet d'un autre volume, la fonction philosophique de la maçonnerie.
Les quatre premiers Ordres de Sagesse.
Pour l'heure, les éditions DETRAD publient quatre volumes qui sont le fruit de mes réflexions et de ma pratique de vingt-trois années des Ordres de Sagesse du Rite. Chaque Ordre fait l'objet d'un volume dans l'objectif est de placer le détenteur de l'Ordre concerné dans une situation de travail et d'approfondissement du contenu initiatique. Il s'agit alors d'établir, dans la pure tradition du Rite Français, le lien entre son travail en chapitre et son travail dans la société. C'est ainsi que ces quatre Ordres constituent une étude de la hiérarchie des devoirs des francs-maçons de Rite Français.
Chaque Ordre est basé sur deux éléments principaux. Un récit "historique", inspiré de la Bible et conservé par les rédacteurs de la reconstitution des années 1998-2000 par respect des codificateurs du XVIIIeme siècle d'une part et d'autre part, d'un précepte. Cette facture, au delà de l'hommage dû à nos Maîtres, confirme la grande plasticité du Rite Français, en tant qu'il est susceptible de s'adapter en permanence aux exigences de la société. Cette exigence est le fruit d'un acte fondamental qui s'est déroulé le 17 février 1786 : l'agrégation du Grand Chapitre Général au Grand Orient de France. Cet acte atteste de la consubstantialité des deux institutions.
1786 est aussi l'année où Mozart compose "Les Noces de Figaro". Il est Maître maçon depuis à peine dix mois...
Travailler à une "suite" sur le Rite Français.
La pandémie m'a permis de poursuivre le travail avec deux autres volumes. L'un dédié aux trois premiers grades de la maçonnerie symbolique et intitulé : "Apprendre, Comprendre, Transmettre", en attente d'un éditeur, et l'autre, à paraître en Février chez Dervy, sur "L'Esprit du Rite Français".
Certains de mes maîtres avaient tenté de me convaincre d'écrire sur le Rite. C'est aujourd'hui chose faite. Je leur sais gré de leur confiance. Et j'ai une pensée profonde et reconnaissante pour Jean-Charles Nehr qui nous a récemment quitté. J'aurais tellement souhaité soumettre mon travail au crible de son exigeante rigueur intellectuelle. Une pensée aussi pour Ludovic Marcos qui a su m'insuffler le besoin de connaître notre histoire et qui m'a toujours soutenu dans l'aventure de ce blog.
Comme il est de mise pour le Rite Français, la collection dans laquelle s'inscrit ces ouvrages s'intitule "Les Cahiers DE Rite Français", laissant ainsi le débat ouvert, loin des officialités qu'aurait marqué un "DU"...
Il ressort de l'expérience qui a inspiré ces ouvrages que le Rite Français place toujours les frères et les soeurs devant un choix crucial : être ou faire.
Les quatre ouvrages.
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Le Premier Ordre se déroule selon le précepte "de la vengeance à la Justice".
Dans son travail de codification de 1784 et 1785, le Grand Chapitre Général de France éclaire sur ses choix :
« La lecture des grades de « petit élu », de « l’élu de l’inconnu » et de « l’élu des quinze », présenté par lui. La Chambre a estimé qu’on pourrait tirer de ces trois grades un élu raisonnable qui n’aurait rien de l’odieux qu’elle a aperçu dans quelques-uns d’eux. [1]»
Le rituel du 1er Ordre est arrêté par la Grand Chapitre Général de France le 24 avril 1784[2]. Le compte-rendu de cette séance précise :
« Le frère De Montaleau a fait lecture du Grade d’Élu dans le premier ordre du Grand Chapitre Général de France. Tous les frères l’ont agréé. »
Cette version est celle qui figurera dans le Rituel du Chevalier Maçon en 1801.
Le travail dans les Ordres de Sagesse du Rite Français au Grand Orient de France se réalise selon les dispositions prévues par l’accord d’agrégation du Grand Chapitre Général au Grand Orient de France en date du 17 février 1786.
Le Grand Chapitre Général du Grand Orient de France – Rite français - 1728 - 1786 affirme que l'accession aux différents Ordres du Rite ne confère à ses membres aucun droit nouveau, mais leur impose au contraire des devoirs plus stricts.
Cet accord se décline dans la Constitution du Grand Chapitre Général du Grand Orient de France - Rite Français.
Ainsi, l’Article 4 précise que les Ordres placés sous sa juridiction sont pratiqués selon les références historiques.
Le Premier Ordre comprend tous les grades intermédiaires de la Maitrise à l’Élu, le grade d’entrée dans cet Ordre est celui d’Élu.
Avec le Premier Ordre, nous entrons dans la dynamique de Sagesse.
Au Rite Français, un Ordre est un regroupement de grades selon l’ordonnancement effectué par le Grand Chapitre Général de France. Le Premier Ordre est une synthèse d’une quinzaine de rituels. Il regroupe deux séries, la première comprend ceux des différents Maîtres (Parfait, Secret, Irlandais), la seconde les différents grades d’élus. On retrouve une partie du contenu du Premier Ordre dans le neuvième degré du REAA, celui « d’Élu des Neuf ».
Le Premier Ordre est une clé de passage des grades bleus vers les Ordres de Sagesse. Le Rite Français prescrit la poursuite du travail initié lors de la Maîtrise pour aller au-delà de la seule acquisition des savoirs.
Pour aborder cette démarche, plusieurs éléments sont à la disposition du Maître Maçon : le récit historique, l’instruction de l’Ordre, un environnement initiatique abordé où se mêle des personnages, des lieux, une nouvelle formulation du temps, des chiffres et des mots, le tableau de l’Ordre et la notion essentielle de nouveaux devoirs.
[1] Pierre Mollier, ouvrage cité, p. 48.
[2] Voir Pierre Mollier, « Les Hauts-Grades du Rite Français, Histoire et textes fondateurs », Dervy, pp. 44 et suivantes.
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Le Deuxième Ordre se déroule selon le précepte : "de l'Union des hommes à l'Unité des Valeurs".
Le rituel du 2eme Ordre est présenté au Grand Chapitre Général de France par Roettiers de Montaleau lors de la treizième assemblée, le 18 décembre 1784 :
« Le Respectable Frère Roettiers de Montaleau a fait lecture du cahier du grade d’Ecossais qu’il a lui-même rédigé ; délibéré que la lecture en sera faite dans un comité particulier composé du Grand-Maître et de l’orateur du Grand Chapitre Général et de tous les officiers du 2° Ordre pour statuer sur des réflexions qui ont été faites[1]. »
En l’absence de procès-verbaux de ces débats, la date d’acceptation n’est pas connue. Néanmoins, Pierre Mollier[2] fournit des éléments de preuve qui attestent que le 10 novembre 1787, il est pratiqué.
Le travail dans les Ordres de Sagesse du Rite Français au Grand Orient de France se réalise selon les dispositions prévues par l’accord d’agrégation du Grand Chapitre Général au Grand Orient de France en date du 17 février 1786.
Le Grand Chapitre Général du Grand Orient de France – Rite français - 1728 - 1786 affirme que l'accession aux différents Ordres du Rite ne confère à ses membres aucun droit nouveau, mais leur impose au contraire des devoirs plus stricts.
L’Article 4 de la Constitution du Grand Chapitre Général du Grand Orient de France-Rite Français précise que les Ordres placés sous sa juridiction sont pratiqués selon les références historiques :
Le Deuxième Ordre comprend tous les grades d’Ecossais, le grade d’entrée dans cet Ordre est celui de Grand Élu.
Cette synthèse prend en compte, particulièrement les grades « d’Ecossais ou parfait maître anglais » et de « l’Ecossais de perfection », puis du « Parfait Maître Anglais » et de « Vrai Maître et Ecossais » de 1745.
Il fut pratiquée dans le Souverain Chapitre « Jean-Théophile Désaguliers » (fondé par René Guilly) dès 1963.
La richesse de l’appareil symbolique du 2eme Ordre tient surtout dans son éclectisme et dans l’écho qu’il donne aux préoccupations contemporaines.
La problématique des sciences et des connaissances, la vulgarisation, leur mise à disposition du plus grand nombre, est clairement exposée.
Le Grand Élu va découvrir que le récit sollicite sa capacité à le traduire dans la vie sociale : comment rassembler les hommes sur des objectifs viables, pérennes, à vocation universelle. Il croisera la problématique de la morale qui, elle, ne l’est pas.
Les épreuves symboliques de purification vont lui être soumises et lui indiquer la voie de la construction de « la vraie morale ».
L’inspiration biblique de départ se confronte aux développements des différents domaines de connaissances qui ouvrent des champs bien au-delà du religieux. Inauguré et célébré au XVIII° siècle par la philosophie des Lumières, l’universalisme de la recherche a permis d’en élargir les champs à des secteurs extrêmement diversifiés.
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Le Troisième Ordre se déroule selon le précepte : "de la destruction à la Reconstruction".
Le rituel du Troisième Ordre est présenté au Grand Chapitre Général de France le 19 mai 1785. Le procès-verbal indique[1] :
« On a fait lecture du grade de Chevalier de l’Orient. Délibéré que le cahier serait renvoyé au 3° Ordre pour qu’il s’en occupe et qu’ensuite il le renvoye avec son avis au GCG de France. »
Après son adoption, dont les archives ne permettent pas de fixer la date, le Troisième Ordre deviendra la référence des grades chevaleresque jusqu’au XIX° siècle selon Pierre Mollier.
Dans le Régulateur des Chevaliers Maçons, il porte de nom de « Chevalier d’Orient », nom sous lequel certains auteurs continuent de l’intituler (tel le « Vademecum du Rite Français » de Claude Darche). Le Grand Chapitre Général du Grand Orient de France a choisi « Chevalier Maçon » lors de la reconstruction de 1998. Les circonstances historiques vécues au cours de ces deux siècles permettent de mieux comprendre.
Et l’explication est fournie dans l’avant-propos de la version de référence de 2018, repris dans l’avertissement du mémento du Troisième Ordre du Grand Chapitre Général (GCG) :
La version de 1784-1786 du rituel du 3eme Ordre commence dans le palais de Cyrus à Babylone (vert) et le président éponyme est « Souverain Maître ». Elle se poursuit après le passage du pont dans les ruines du Temple de Jérusalem (rouge)où sont réfugiés quelques Grands Élus après la destruction du premier Temple par Nabuchodonosor au VI° siècle avant notre ère, et le président est « Très Illustre Maître ». La clôture des travaux a lieu dans le temple décoré par des draps verts avec festons ponceaux, décors qui évoquent l’association des valeurs des 2eme et 3eme Ordres et le président du conseil conserve le titre de Très Illustre Maître. On commence donc en vert avec un Souverain Maître et on finit en vert/rouge avec un Très Illustre Maître. Un tel montage est incohérent pour un Conseil qui ne comporte pas de réception. Il apparaît alors clairement que ce rituel n’a été rédigé qu’en vue d’une cérémonie de réception. Il n’est donc pas viable pour un Conseil ordinaire.
Pour surmonter cette difficulté, nous avons créé une quatrième chambre, celle des « Chevaliers Maçons », laquelle correspond à la fois au Temple en reconstruction et à ce Temple immatériel (vert/rouge) évoqué dans le discours historique et dont la réalisation devient l’objectif délivré au Chevalier Maçon.
Le travail dans les Ordres de Sagesse du Rite Français au Grand Orient de France se réalise selon les dispositions prévues par l’accord d’agrégation du Grand Chapitre Général au Grand Orient de France en date du 17 février 1786.
Le Grand Chapitre Général du Grand Orient de France – Rite français - 1728 - 1786 affirme que l'accession aux différents Ordres du Rite ne confère à ses membres aucun droit nouveau, mais leur impose au contraire des devoirs plus stricts.
L’Article 4 de la Constitution du Grand Chapitre Général du Grand Orient de France-Rite Français précise que les Ordres placés sous sa juridiction sont pratiqués selon les références historiques :
Le Troisième Ordre comprend tous les grades de Chevalerie ; le grade d’entrée dans cet Ordre est celui de Chevalier Maçon.
Les origines chevaleresques des grades qui composent le Troisième Ordre le colorent de la noblesse de l’engagement pour les combats à livrer.
Le Troisième Ordre aborde cette noblesse pour s’affranchir, individuellement et collectivement, des freins des héritages ; pour se projeter dans un avenir de construction de soi, de construction de la société, les temples intérieurs et extérieurs.
Au-delà des mots habituellement convenus, il s’agit pour l’impétrant Chevalier Maçon de s’émanciper des habitudes nées de l’éducation ; de se libérer des mécanismes de pensée
acquis par la reproduction inconsciente de modèles.
Comment vaincre ces forces intérieures qui nous maintiennent prisonnier de notre passé ? Comment réussir à franchir nos frontières personnelles sans aliéner notre libre arbitre à aucune cléricature ?
Sortir de soi est un combat, le gagner est une promotion dans l’ordre de l’Humanisme.
Ce que l’Apprenti Maçon avait commencé (VITRIOL), le Chevalier Maçon doit le parfaire par l’ajustement des outils qu’il détient désormais. Voilà pourquoi, symboliquement, il se tient « l’épée d’une main et la truelle de l’autre » pour assumer le triptyque : Construction–Destruction–Reconstruction et engager la lutte contre l’ignorance, l’amalgame et la confusion.
[1] Pierre Mollier, « Les Hauts-Grades du Rites Français, Histoire et textes fondateurs », Dervy, p. 51
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Le Quatrième Ordre se déroule selon le précepte " de la Libération à l'Epanouissement".
Le rituel du Quatrième Ordre, d’une origine assez différente des trois premiers est issu d’un rituel déjà plus stabilisé au XVIII° siècle, celui de Chevalier Rose-Croix, d’une facture très christique, selon les usages du siècle.
Il est néanmoins présenté au Grand Chapitre Général de France le 29 avril 1786 dans une forme radicalement déchristianisée. Le procès-verbal indique[1] :
Le Frère De Montaleau a fait lecture d’un discours préliminaire pour le grade de Rose Croix et il a communiqué la rédaction du même grade. Le Comité a arrêté que le tout serait présenté au Grand Chapitre Général.
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Pour tenir compte de la décision du convent du GODF en 1877 et de la modification de la version Amiable de 1886, le rituel est réécrit lors de la reconstitution de 1999. La version sera publiée en 2003 et revue en 2007, version qui constitue actuellement la référence. En effet, une nouvelle version a été finalisée en 2018 mais n’a pas été encore publiée.
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Le Grand Chapitre Général du Grand Orient de France – Rite français - 1728 - 1786 affirme que l'accession aux différents Ordres du Rite ne confère à ses membres aucun droit nouveau, mais leur impose au contraire des devoirs plus stricts.
L’Article 4 de sa Constitution précise que les Ordres placés sous sa juridiction sont pratiqués selon les références historiques :
Le Quatrième Ordre comprend les grades de Parfaits Maçons, le grade d’entrée dans cet Ordre est celui de Souverain Prince de Rose-Croix préalable au grade de Parfait Maçon Libre d’Hérédom de Kilwinning, Grand Commandeur du Temple qui en est l’aboutissement. (Version du Règlement Général de 2007).
Le cheminement initiatique en « sept grades plus un » conçut par le Grand Chapitre Métropolitain touche à sa fin avec le Parfait-Maçon-Libre. Restera, plus tard, l’éventualité pour le récipiendaire de prendre corps au sein du « plus un », c’est-à-dire le Veme Ordre.
Le Quatrième Ordre, occupe une place singulière.
Le Rituel ne suit plus la trame originelle de la Passion du Christ, qu’il a en 1786, celle de l’ancien ordre du tétragramme basé sur la parole perdue avec la formule INRI (Jésus de Nazareth, Roi des Juifs), concrétisée dans le grade de Rose+Croix.
Cela n’aurait évidemment pas grand sens dans la maçonnerie libérale a-dogmatique de la fin XIX° siècle et surtout du XX°. Les rédacteurs des années 2000 ont tiré les leçons de 1877 (la fin de l’obligation de croire en dieu) et la modification de l’article Premier de la Constitution du GODF de 1886 (« l’émancipation intellectuelle et sociale de l’Humanité ») par la version Amiable. Les devoirs de l’Homme ne se dirigent plus vers un « au-delà » de la vie terrestre, mais vers les conditions de la réalisation du bonheur de l’homme sur la terre. C’est ainsi que les Parfaits-Maçons-Libres sont invités à inventer les « Cathédrales du Futur ».
Telle est cette étape terminale des enseignements du Rite Français, aboutissement d’un parcours où le caractère biblique laisse la place, version après version, au message citoyen. Le grade historique de Rose+Croix, christique, est donné en communication. Le Récit vient ensuite aborder le passage, tout autant historique, vers le progrès de l’Humanité. Et comme pour accentuer la résonnance avec les valeurs républicaines, le voyage est ponctué par plusieurs officiers au fil de sept étapes. Ils viennent couronner l’identité laïque du Rite et son inscription dans la logique de l’action tendant au Bonheur de l’Homme.
Le Quatrième Ordre est le grade "sommital" du Rite Français.
[1] Pierre Mollier, « Les Hauts-Grades du Rites Français, Histoire et textes fondateurs », Dervy, p. 51
Présentation - dédicace.
A vos agendas...
Trois journées de sortie en avant-première se dérouleront à l'occasion du congrès des souverains chapitres à partir du 9 décembre prochain.
La Librairie Détrad, 18 rue Cadet, organise trois moments où je serai heureux d'accueillir, de dédicacer et d'échanger avec celles et ceux qui le souhaiteront les :
jeudi 9.12 de 16h et 18h30 ;
vendredi 10, de 12h et 17h
et samedi 11, de 12h à 14h.
Et possibilité de commander une dédicace sur le site www.detrad.com
A très bientôt
Gérard Contremoulin
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