GODF, le colloque de Reims sur l'Europe.

Mercredi 27 aout, à la veille de son convent,

le GODF organise un colloque sur

"L'Europe : un espoir pour les générations futures".

Il prend place dans le cadre des manifestations organisées par le GODF

(1914-1944 : les Francs-maçons dans la guerre).

Il se déroulera de 10h à 17h au Centre des Congrès de Reims,

situé en centre ville,

12, Boulevard du Général Leclerc.

Il est ouvert à tout public, francs-maçons et profanes.

Comments

[Isa]

Enfin un travail pour un vrai enjeu de société. Penser et construire l’Europe et les politiques européennes à partir de ses citoyens.Il nous faut refaire de l’Europe le résultat d’un rêve partagé. Oser se décentrer et oser l’innovation puis apprendre à inventer ensemble les politiques qui vont produire et de l’unité et de la diversité, un défi moderne ... Donc à suivre !

[Isa]

Ahhhhhh l'émulation chantée et en allemand en plus ...

[joaben]

Que j'aime entendre cet enthousiasme... Chantons partout où nous le pouvons et de plus en plus fort notre ode à la joie fédéral piétiné par les partis nationalistes du repli(UKIP et FN) au parlement.
Dans notre loge, il clot les travaux systematiquement.

Etincelle, Oh ! Joie divine
Jaillie de l’Elyséum
L’allégresse nous anime
Pour entrer dans ton royaume.
Par ta magie sont unanimes
Des peuples jadis divisés,
Là où ton aile domine
Règne la fraternité.
Soyons unis comme frères
D’un baiser au monde entier
Amis bâtissons une ère
De paix pour l’humanité.
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Freude, schöner Götterfunken,
Tochter aus Elysium,
Wir betreten Feuertrunken,
Himmlische, dein Heiligtum.
Deine Zauber binden wieder,
Was die Mode streng geteilt ;
Alle Menschen werden Brüder,
Wo dein sanfter Flügel weilt.
Wem der grosse Wurf gelungen,
Eines Freundes Freund zu sein
Wer ein holdes Weib errungen,
Mische seinen Jubel ein !
Ja, wer auch nur eine Seele
Sein nennt auf dem Erdenrund !
Und wer nie gekonnt, der stehle
Weinend sich aus diesem Bund !

[joaben]

On sent un vent de renouveau se lever chez les "progressistes".
Le sujet européen a l'avantage d'être encore quasi vierge sans "acquis" à préserver.

Nous discutions, dans un groupe professionnel, il y a peu, sur l'avenir de la protection sociale.
Et en effet, vu au niveau national les perspectives sont sombres. Sous la pression du refus électoraliste politique d'aborder sérieusement la question, la pression de la competitivité, des besoins de croissance les crises des déficits sociaux vont encore s'accroitre.
Par contre, examiné au niveau fédéral, la situation est beaucoup plus optimiste : un systeme de protection sociale fédéral peut très bien se développer qui peut tirer vers le haut, sans les opposer qualité et efficacité.
Exemple : amené à une taille européenne, l'assurance maladie verrait baisser ses coûts de 25-30 % sans baisse de qualité.
Les retraites, lissées sur l'ensemble européen ne posent plus de problème.
Est-on prêt à abandonner des pouvoirs locaux ?